Quand tout s’accélère : la possibilité de choisir d’Alexandre Il avait immensément aimé tout maîtriser. Alexandre, 45 ans, barrière dans une grande enseigne de logistique, organisait la vie tels que il organisait ses dossiers : sans place pour l’approximation. Tout était planifié, rationalisé, abordé. Pourtant, ce mercredi-là, il
Michel était resté silencieux une opportunité. Ce n’était pas de la culpabilité qu’il ressentait. C’était en tant qu' un cours qu’on avait tiré, en dernier lieu, et qui reliait les fragments d’un réussite trop de nombreuses années dispersé. La voyance immédiate, pour lui, n’avait rien d’ésotérique. C’était un miroir, u
Quand tout s’accélère : le choix d’Alexandre Il avait toujours aimé tout contrôler. Alexandre, 45 ans, barrière dans une grande entreprise de logistique, organisait la destinée par exemple il organisait ses textes : sans place pour l’approximation. Tout était planifié, rationalisé, maîtrisé. Pourtant, ce mercredi-là, il s’est se
Michel était resté silencieux un moment. Ce n’était pas de la culpabilité qu’il ressentait. C’était comme un cours qu’on avait tiré, pour finir, et qui reliait les morceaux d’un puzzle à l'infini de nombreuses années dispersé. La voyance immédiate, pour lui, n’avait rien d’ésotérique. C’était un miroir, une astuce d’a
Quand la voix apaise plus que les messages. Émilie avait 42 ans. Elle vivait dans le sud-ouest, dans une famille modeste qu’elle occupait seule pendant sa maximum. Ses deux plus jeunes, adolescents, partageaient leur temps entre elle et leur père, et nonobstant le calme apparent de sa biographie, Émilie se sentait constamment sur la brèche. D